Samstag, 25. Dezember 2010

Le combat contre le cancer. Formule brésilienne de succès.

Formule brésilienne de succès international pour le combat contre le cancer

Il existe une ancienne formule brésilienne, contenant 30 % de la feuille entière et fraîche (sans épines) d'Aloe arborescens Miller ou d'Aloe vera L., 65 % de miel et environ 1,2 % d´alcool, ce qui constitue l’un des plus précieux auxiliaires thérapeutiques, même en cas de maladies graves tel que le cancer, le SIDA et la fibromyalgie. Elle est si simple que la majorité des personnes n’y font même pas attention ou ne la prennent pas au sérieux, ils la rendent même ridicule, car ils pensent que cette recette est trop primitive. Pourtant environ 70 % des personnes réagissent très positivement à l´utilisation de cette recette à succès et sont très reconnaissants de pouvoir assister la médecine traditionnelle pour obtenir de meilleurs résultats dans un laps de temps plus court et avec moins d’effets secondaires. Les lettres de lecteurs enthousiasmés qui m´arrivent le prouvent.

Des générations de scientifiques ont déjà dépensé beaucoup de milliards de dollars et n’ont gagné que quelques batailles périphériques dans la guerre contre le cancer, déclarée en 1968 par Richard Nixon, président à l’époque des Etats-Unis, mais pas la guerre. Ces sommes inimaginables ont été libérées depuis 1968 en fonction de l'affirmation que les chercheurs pourraient gagner cette bataille après une période de 5 ans. Cette guerre de 40 ans ne pouvait pas être gagnée, car les chercheurs jusqu’à présent n´ont pas reconnu les capillaires comme les principaux décideurs de notre santé, allant même jusqu’à empêcher la formation de nouveaux capillaires en cas de cancer. Les recherches se faisaient à coté du but! Une telle attitude s’assimile à celle de la recherche de la cause de l'engorgement d’une tuyauterie d'eau d'une maison, obstruée par des résidus calcaires qui ne permettent plus le passage d’eau, où on recherche à partir de la composition du mortier ou des briques des murs et en étudiant les plans de construction. De cette manière, on n’arrivera jamais à un résultat.

Il y a 100 ans, quand l’organisation allemande pour le combat contre le cancer fut fondée, 43.000 personnes mouraient par an, en Allemagne, de tumeurs malignes. Le cancer était au 6ème rang des statistiques des causes de mortalité. Aujourd'hui, ou le nombre de la population n’a pas changé, on enregistre 218.000 décès annuels par le cancer (Selon Der Spiegel. 12/2000). Les cellules cancéreuses malignes occupent le 2ème rang de cette statistique. Le président de l’organisation allemande de combat contre le cancer, Dr. Lothar Weissbach, a déclaré dans une interview dans le journal DER SPIEGEL 12/2000, que "… dans dix ans au maximum, le cancer sera la principale cause de décès en Allemagne – et nous n’y sommes pas encore préparés ".

Et voilà qu’apparaît un prêtre franciscain, du Rio Grande do Sul, déclarant qu'il y a une formule à grand succès dans la lutte contre maintes maladies, ainsi que des maladies graves comme le cancer et le sida, déjà connue au Brésil depuis maintes générations et décrite, depuis des décennies, dans plusieurs livres de médecine naturelle et populaire ou transmise de vive voix de génération en génération. Grâce à son travail durant de nombreuses années en Israël, le père Romano Zago OFM a répandu cette formule parmi les pèlerins en provenance de toutes parties du monde qui visitaient la Terre Sainte.

À présent, il nous parvient des informations de divers continents où cette formule brésilienne a été utilisée avec grand succès contre le SIDA et la fibromyalgie, en plus d’une centaine de maladies, pour lesquelles le jus du gel d’aloès complète et accélère les thérapies médicales. Cette ancienne formule brésilienne en raison de sa simplicité, n'est parfois pas prise au sérieux, peut-être parce qu’il s'agit d'une plante médicinale d'emploi courant , modeste et sans éclat. Comment est-ce que la recherche scientifique pourra se focaliser vers ses bienfaits, si le centre d’intérêt est entièrement orienté vers les gènes et les génomes, même sans résultats significatifs?

La célèbre formule du Brésil

La composition de cette formule simple, à la portée de tous, est la suivante :

a. 300 g de feuilles fraîches, lavées, d'Aloe arborescens Miller ou d’Aloe vera L. (débarrassées de leurs épines externes), sont coupées avec un couteau en petits morceaux de 1 à 2 cm, qui sont, ensuite, placés dans un mixer.

b. Ajouter ensuite 500 g de miel pur d'abeilles.

c. Ajouter 3 à 4 cuillerées à soupe d'eau-de-vie de canne à sucre, de rhum, de whisky, de vodka ou d'autre alcool distillé de haute teneur en alcool (environ 40 %), mais pas de liqueurs.

Ensuite, mixer ce mélange entre 30 secondes et 3 minutes, jusqu'à ce qu’il se transforme en jus. Les morceaux des feuilles d’Aloe doivent être coupès de manière à être avalés sans problème.

Lors de la préparation, on doit éviter l'incidence directe de la lumière solaire ou électrique, pour éviter de possibles altérations du mélange avant que le miel se lie à tous les composants d’aloès et que toutes les précieuses substances de cette composition soient stabilisées.

On conserve ce mélange dans un endroit frais et sombre et il doit être consommé dans les prochains 30 jours de sa fabrication, car on n’emploie pas de conservateurs, au contraire de la production industrielle de ce produit. Pour la production industrielle on utilise des conservateurs tels que le sorbate de calium, le benzoate de sodium et le citrate de sodium. Ces produits sont autorisés dans le monde entier pour la conservation des produits alimentaires. Ainsi le gel d´Aloe vera L. peut être conservé pendant 2 ans, tant que la bouteille n´a pas été ouverte. Après ouverture de la bouteille il faut la conserver au frigidaire et la consommer dans les 2 mois suivants.

Lors de l’utilisation des feuilles d'Aloe vera L. bien épaisses et charnues contenant beaucoup de gel, nous devons séparer une partie du gel pour d'autres fins, visant à maintenir la proportion idéale de gel/feuille, comme dans le cas de l'Aloe arborescens Miller, dont les feuilles possèdent une plus petite quantité de gel et une plus grande quantité d’écorce. Dans cette formule, le plus important est l'écorce de l’Aloe et non pas le gel interne.

On raconte que certaines personnes qui ne supportent pas le miel, le remplacent pas du jus d´agave, ou bien par du jus de légume ou même par des édulcorants, pour couvrir le gout amer de la feuille d´Aloe, mais qui réduisent aussi l´effet. Important pour les diabétiques ! Certaines personnes trouvent important que les feuilles d´Aloe soit coupées le matin, de préférence après quelques jours sans pluie.

Le célèbre professeur Russe Filatow recommande même que les feuilles coupées de l'Aloe soient d´abord conservées pendant 10 jours dans le noir, à 3°C (dans le réfrigérateur), ceci active des forces supplémentaires de l’Aloe, car elles doivent lutter pour survivre dans l'obscurité, en mobilisant toutes leurs forces spéciales.

La formule du Brésil est idéale pour la prévention et la thérapie du cancer

Le père Romano Zago OFM, de même que plusieurs autres ouvrages brésiliens de médecine naturelle, recommande une cure annuelle préventive contre le cancer. Durant cette période, on doit prendre pendant dix jours, une cuillerée à soupe de ce mélange d’Aloe/miel/alcool matin, midi et soir, 15 minutes avant les repas. De nombreuses personnes font ce traitement même plusieurs fois par an depuis des années. Il est recommandé de secouer la bouteille, pour que les particules déposées au fond de la bouteille se mélangent au jus.

Non seulement dans le cas médical mais aussi on cas de le SIDA ou des Fibromyalgie ces traitements de 10 jours sont aussi recommandés au cancer, toutefois dans le rythme de 10 jours traitement et 10 jourspause, etc. jusqu'à la récupération. Seulement avec le cancer aucune pause n'est faite pendant la radiothérapie et chimique, pour éviter ses effets secondaires comme la nausée et la perte de cheveux. Dans certains États américains, l’utilisation de l'Aloe pendant la chimiothérapie et la radiothérapie est d´usage courant.

Aloe Impératrice des Plantes médicinales ISBN 978-3-00-022142-1 EUR 25,00
Michael Peuser mpeuser@hotmail.com

Ein Gleichnis für verengte Kapillaren und Störung der Mikrozirkulation

Ein Gleichnis für verengte Kapillaren und Störung der Mikrozirkulation

Um die verheerende Wirkung von verengten Kapillaren auf die Sauerstoffversorgung der 75 Billionen Zellen unseres Organismus einmal plastisch darzustellen, möchte ich Ihnen folgendes Gleichnis nahebringen.

Unser Planet Erde beherbergt derzeitig 7,5 Milliarden Menschen. Nehmen wir einmal an, dass jeweils drei Menschen eine Gemeinschaft bilden und in einer Wohnung oder einem Einfamilienhaus leben, so hätten wir 2,5 Milliarden Wohneinheiten. Wenn alle diese Wohneinheiten nach dem letzten Stand der Technik an Strom, Gas, Wasser und Telefon angeschlossen sind, kann man jede einzelne von ihnen mit einer Zelle im Organismus vergleichen.

Wir wissen bereits aus vorherigen Kapiteln dieses Buches, dass jede einzelne Zelle unseres Organismus ein wahrer Kosmos ist. In jeder einzelnen Zelle laufen mehr Chemieprozesse ab als in allen Chemiefabriken dieser Erde. Ebenso sind in jeder Zelle derartig viele Informationen vorhanden, dass unzählige Computer zu deren Abspeicherung nötig wären. Wenn wir uns das ganze Weltall mit seinen 1000 Milliarden Galaxien ohne Leben vorstellen, dann ist alles, was sich dort im Weltall abspielt, ein Nichts im Vergleich zu dem, was sich in jeder einzelnen Zelle vollzieht.

In Fortführung unseres Gleichnisses stellen wir uns nun eine einzelne winzige Zelle bildhaft als Wohneinheit für drei Menschen vor, mit Anschluss an die örtliche Wasserversorgung, um frisches und sauberes Wasser in der Küche, im Bad, in der Toilette und in der Wasch- und Geschirrspülmaschine zu haben. Dieses Wasser wird zum Verbraucher über ein sehr gut gegliedertes Rohrnetz vom Wasserwerk zuerst über sehr dicke, dann immer dünnere und zuletzt durch Rohre mit einem sehr geringen Durchmesser geleitet.

Nehmen wir einmal an, dass jede Wohneinheit der Erde von einem einzigen Wasserwerk beliefert werden müsste, dann würden 2,5 Milliarden Wohneinheiten in unserem Gleichnis 2,5 Milliarden Zellen entsprechen, die von einem Herzen aus versorgt werden.

Ahnen Sie wie viele Wohneinheiten pro Tag Probleme mit der Wasserversorgung haben? Weltweit sind Hunderttausende Klempner im Einsatz um Rohrbrüche zu beseitigen, tropfende Hähne zu reparieren, verkalkte Rohre auszutauschen, Toilettenspülungen zu regeln, Wasch- und Spülmaschinen anzuschließen oder zu warten. Mehrere hunderttausend Wohneinheiten (sagen wir beispielhaft 250.000) werden täglich von Wasserversorgungsproblemen betroffen. Das wären also 0,001 %.

Nun hat der Mensch aber 75 Billionen Zellen, das wären, wenn man diese als Wohneinheiten und 2,5 Milliarden pro Erde annimmt, Wohneinheiten für 30.000 Planeten Erde. Wenn 0,001% davon von einer Wasserversorgung abgesperrt wären, dann würden auf den 30.000 Erden 750 Millionen Wohneinheiten ohne Wasser sein. Für die 30.000 Erden kein Problem, für die einzelne Wohneinheit eine kleine Katastrophe. Es gäbe kein Wasser zum Trinken, zum Händewaschen, zur Toilettenspülung, zum Wäschewaschen, Geschirrspülen, Tee- oder Kaffeekochen und zum feuchten Aufwischen. Wenn dieser Zustand lange anhält und kein Wasser von anderen Quellen besorgt werden kann, dann verschlechtert sich folgerichtig der hygienische Zustand der Wohnung, denn die Toilette kann nicht gespült werden. Es stinkt zum Himmel, Krankheiten und sogar Seuchen können ausbrechen!

Solange jedoch nur 0,001 % der Wohneinheiten davon betroffen sind, besteht keine Gefahr für die 30.000 Planeten Erde, denn es werden Hunderttausende Klempner pro Erde anrücken um diese Probleme in den Griff zu bekommen.

Wenn aber der verantwortliche oberste Chef für alle Wasserwerke der 30.000 Planeten Erde z. B. in krankhaftem Wahn anordnen würde, dass ab sofort ins Trinkwasser fettige Öle, teerige Stoffe und Kalk in großen Mengen zugegeben werden müssen und alle Wasserwerke diesen Anordnungen blindlings folgten, würden sich zuerst die feinsten Wasserleitungen verengen und verstopfen. Die Wasserhähne und Toilettendrücker würden nicht mehr richtig funktionieren, eine totale Katastrophe wäre die Folge. Ein Stadtviertel nach dem anderen würde davon betroffen sein, eine Stadt nach der anderen, ebenso ein Land nach dem anderen, ein Kontinent nach dem anderen und zuletzt ein Planet nach dem anderen. Seuchen würden sich ausbreiten. In dem Fall hilft dann auch kein Klempner mehr. Erstens reicht die Anzahl nicht und zweitens wären ohne die Ursachenbeseitigung in den Wasserwerken alle Reparaturarbeiten sinnlos.

Auf eine Krebserkrankung übertragen bedeutet das Gleichnis folgendes: Ständig sind z. B. 0,001 % der Zellen von der Sauerstoffversorgung abgeschnitten und können somit in die Zellgärung übergehen, also zu Krebszellen entarten. Wenn aber die Zellversorgung mit Sauerstoff durch die Ursachenbeseitigung wieder angekurbelt wird, kann die Krebsentwicklung gestoppt und der Krebs zum Verschwinden veranlasst werden. So geht es ständig im Leben und stellt keine Gefahr dar.

Wenn aber durch permanent verkehrte Ernährung, Rauchen und Alkoholexzesse die Kapillaren sich verengen, und, um im Bilde zu bleiben, das Wasserwerk fettige Öle, teerige Stoffe und Gips in das Leitungswasser abgibt, dann wären alle Rohrleitungen davon betroffen und die Wasserversorgung bräche nach und nach zusammen. Ganze Städte, Länder, Kontinente und Planeten bleiben ohne Versorgung und die Katastrophe lieβe sich nicht mehr ohne weiteres beseitigen. Als Erstes muss die Wasserqualität im Wasserwerk wiederhergestellt werden, die Rohre dann gereinigt und durchgespült werden, bis die letzte Wohneinheit wieder voll mit Wasser versorgt werden kann.

Übertragen auf das Krankheitsbild Krebs: Der Zustand der Mikrozirkulation in den Kapillaren ist das “A“ und “O“ für die Entstehung und die Heilung von Krebs. Deshalb sollte immer, sobald ein Tumor entdeckt wird, die erste Maßnahme sein, für die Wiederherstellung einer einwandfreien Mikrozirkulation in den Kapillaren zu sorgen. Die beste Bedingung für eine optimale Zirkulation sind der richtige Kapillarendurchmesser und eine gute Flieβfähigkeit der roten Blutkörperchen. Die Elastizität der Blutkörperchen und die Festigung der feinen Kapillarenwände sind ebenso unerlässlich, wie in diesem Buch beschrieben. Nur dann kann mit einer Erfolg versprechenden medizinischen Therapie begonnen werden.

Dieser Text ist ein Auszug aus dem Buch "Krebs wo ist dein Sieg?"

Die ausführliche Beschreibung zum Thema Kapillaren, bzw. wie man die Mikrozirkulation optimieren kann, findet man den den Büchern von Michael Peuser unter den Titeln:
Krebs wo ist dein Sieg? (in Deutsch)
Kapillaren bestimmen unser Schicksal (in Deutsch)
Os Capilares determinam nosso destino (in Portugiesisch)
Aloe Impératrice des Plantes médicinales (in Französisch)

www.michaelpeuser.de
www.aloevital.com.br
mpeuser@hotmail.com
(Kontakte mit dem Autor Michael Peuser)

Erfahrungen mit der Aloe bei Krebs

Erfahrungen mit der Aloe bei Krebs

Am 2. März 2009 besuchte ich einen interessanten Vortrag zum Thema “Der Einsatz von Robotern bei Operationen” im Hospital Alemão Oswaldo Cruz in São Paulo/Brasilien. Dieses deutsche Krankenhaus wurde am 26.9.1897 von deutschen Industriellen unter der Führung vom Ehrenkonsul Anton Zerrener gegründet und zählt zu den besten Krankenhäusern Lateinamerikas und belegt sogar in vieler Hinsicht eine Spitzenstellung. Es wird heute vom deutschen Einwanderer Karlheinz Pohlmann, einem sehr erfolgreichen Industriellen Brasiliens geleitet. Ein Krankenhaus dieser Größenordnung mit 72.000 m² bebautem Raum, 239 Krankenbetten, 34 Betten in der Intensivstation und mit 13 Operationssälen, ist wie ein großes Industrieunternehmen zu betrachten und bedarf der Führung eines Industriellen. Mit Karlheinz Pohlmann war ich jahrzehntelang während meiner früheren industriellen Tätigkeit geschäftlich und freundschaftlich verbunden.

Im Anschluss an den Vortrag gab es einen Cocktailempfang und jeder Teilnehmer hatte sein Namensschild am Revers. Ein Arzt namens Dr. Paulo Cezar Soares Buschinelli sah meinem Namen am Revers und sprach mich erfreut an, mich endlich einmal persönlich als Autor kennenzulernen. Er berichtete mir, dass er Urologe ist und bisher über Tausend Operationen durchgeführt hatte bei Prostatakrebspatienten. Nachdem er aber vor vielen Jahren mein in portugiesischer Sprache herausgegebenes Kapillarenbuch las, empfiehlt er stets seinen Prostatakrebspatienten, genau das zu machen was in meinem Buch beschrieben steht. Seitdem brauchte er bei seinen Prostatakrebspatienten nicht eine einzige Operation mehr vorzunehmen. Er führt noch unzählige andere Operationen im urologischem Bereich aus, aber keine mehr bei Prostatakrebs.

Im Jahre 2007 hielt ich bei einer Vortragsreise in Bayern an um zu tanken. Da kam ein Autofahrer, der auch dort tankte auf mich zu und begrüßte mich überfreudig. Er war glücklich mich einmal persönlich zu treffen. Er hatte mich in der „Jürgen Fliege“-Sendung im 1. Programm des Deutschen Fernsehens ARD im Jahre 2002 gesehen. Seit dieser Sendung bereitet er immer Hundertliterweise das Vitalgetränk der Aloe nach der brasilianischen Formel. Er verteilt dieses Getränk in seinem Ort an Krebskranke und er ist fest überzeugt damit bereits über 150 Krebskranken richtig geholfen zu haben. Die Zubereitung dieses Vitalgetränkes der Aloe wurde von mir damals zusammen mit Herrn Dietz in der Sendung praktisch vorgeführt. Diese Fernsehsendung wurde von drei Millionen Zuschauer in Deutschland, Österreich und der Schweiz gesehen. Übrigens wurde diese Sendung sehr oft wiederholt und gilt sicherlich als einer der von den Zuschauern am meisten kopierten Gesundheitssendung.

Während der Erstausstrahlung dieser Sendung, wurde diese durch eine Sondermeldung unterbrochen, da an diesem Tage zum ersten Male seit dem Zweiten Weltkrieg zwei Deutsche Soldaten im Einsatz gefallen waren. Dadurch fehlte mitten in der Sendung einige Minuten der Übertragung, so dass diese wiederholt werden musste. Da das Thema aber derartig interessant war und vielseitiges Interesse weckte, hatten daraufhin unzählige Fernsehteilnehmer bereits ihre Geräte zum Kopieren bereitgehalten um sich diese erneute Übertragung aufzuzeichnen. Wie oft werde ich noch heute, obwohl schon acht Jahre vergangen sind, von Fernsehzuschauern auf diese Sendung angesprochen.

Am 1. August, dem Nationalfeiertag der Schweiz, wurde ich vor einigen Jahren zu einem diplomatischen Empfang der Schweiz eingeladen. Dabei lernte ich ein schweizer Ehepaar kennen. Der Ehemann erzählte mir folgende Begebenheit. Sie hatten einen Hund, der bereits 17 Jahre alt war und an Krebs erkrankte. Seine Frau ist Chirurgin und nahm den Hund mit ins Krankenhaus zum Durchleuchten. Das Röntgenbild zeigte den Krebs im fortgeschrittenen Stadium, so dass seine Frau ihm empfahl den Hund sofort einschläfern zu lassen, da keine Heilungschance mehr bestand.

Der Ehemann berichtete ihr daraufhin, dass er das Buch von Michael Peuser gelesen hatte und darin wird bei Krebs empfohlen, stets das Vitalgetränk der Aloe mitzuverwenden. Dadurch lassen sich bessere Heilungschancen erzielen und die typischen Nebenwirkungen der Chemo- und/oder Strahlentherapie können vermindert werden oder sogar oft gänzlich vermieden werden. Seine Frau wollte ihn fast für verrückt erklären, wie er so einen unwissenschaftlichen Unsinn glaubt. Er aber bestand darauf, genau so vorzugehen, wie in meinem Buch beschrieben. Er bereitete sich das Vitalgetränk der Aloe nach der brasilianischen Erfolgsformel aus meinem Buch und gab dieses jeden Tag dreimal, jeweils einen Esslöffel voll dem Hund zu trinken.

Seine Frau nahm danach im Laufe der Zeit den Hund mehrere Male mit ins Krankenhaus zum Durchleuchten und jedes mal war der Tumor sichtbar kleiner geworden und verschwand zu ihrer Überraschung zum Schluss vollkommen. Danach lebte der Hund noch zwei Jahre ohne Krebs und ist dann mit 19 Jahren friedlich entschlafen.

Auf Grund meiner Bücher wurde ich bisher zu über 1.000 Vorträge von Brasilien aus nach Deutschland, Österreich, der Schweiz, Frankreich, Luxemburg, Holland, Belgien, Italien, Liechtenstein, Ungarn und Griechenland eingeladen worden, darunter auch zu Großvorträgen, wie z. B. in der Saarlandhalle mit 2.000 Gästen, der Messe Wien und Messe Leipzig mit jeweils 1.000 Gästen. Aber nicht nur in Europa, sondern auch in Brasilien, wo ich jetzt schon 42 Jahre tätig bin, werde ich regelmäßig zu Vorträgen eingeladen, darunter ebenfalls auch zu Großvorträgen wie z. B. im Theater Olinda in Recife mit 2.000 Gästen oder in Rio de Janeiro, wo an einem Tag 1.750 Gäste kamen, aber nur 1.000 Platz fanden, so dass zwei Vorträge nacheinander gehalten werden mussten.

So wurde ich auch im Laufe der Zeit zu sehr vielen Fernsehaufzeichnungen in verschiedenen Ländern eingeladen, darunter auch zu Prof. Bankhofer, dem “Hausarzt der Nation“ in München und in São Paulo zum Sender “Rede Vida“ und zur beliebten Talkshowsendung “Jô Soares“.

Interessant sind für mich nicht nur die viele Zuschriften, die ich erhalte, sondern auch die Kommentare der Vortragsteilnehmer. Sehr häufig kommen Ärzte nach einem Vortrag zur mir und geben sinngemäß stets folgenden Kommentar: „Was haben wir denn eigentlich in der Universität gelehrt? Jetzt begreife ich endlich einmal die Zusammenhänge!“

Bei einem Vortrag in Deutschland meldete sich eine Russlanddeutsche zu Wort. Sie berichtete, dass ihre Familie seit über 300 Jahren diese Aloe-Erfolgsformel gegen Krebs besitzt. Ihre Familie erhielt diese ursprünglich von einem Rabbiner.

Auch in Salerno, der wichtigsten Ärzteschule des Mittelalters im Abendland war diese Erfolgsformel bekannt und wurde angewandt und in Poesien sogar beschrieben.

Dem brasilianischen Franziskanerpater Frei Romano Zago OFM haben wir es zu verdanken, dass diese Uraltformel wieder international bekannt wurde und nunmehr weltweit zur Verbesserung den schulmedizinischen Krebstherapien zum Einsatz kommt. Er ist Autor von Büchern zu diesem Thema in sehr vielen Sprachen. In den USA heißt das Buch: "Aloe isn't medicine, and yet.... it cures!" Erschienen im Verlag іUniverse, Inc. New York Bloomington. 181 Seiten, ISBN 978-1-4401-2576-8.

Meine Forschungen in Bezug auf diese Uraltformel zielten dahin, deren Wirkungsweise im Organismus zu ergründen, um diese bis dahin unerklärbaren verbesserten Heilungsergebnisse einmal erklärbar machen zu können. Die Erklärung fand ich in der Wirkung dieses Vitalgetränkes auf die Schwellkörper an den Innenwänden der extrem feinen Kapillaren. Diese verengen die Kapillaren im angeschwollenen Zustand. Wenn dieses gutschmeckende Cocktail aus der Apotheke Gottes getrunken wird, dann wirken die über 200 pharmazeutischen Inhaltsstoffe als Kommandogeber direkt auf diese Schwellkörper und wenn die Kapillaren verengt waren, dann erweitern sich diese wieder zum normalen und gesunden Durchmesser. Dadurch verbessert sich die Mikrozirkulation in den 150.000 km Kapillaren, die der Versorgung der 75 Billionen unseres Organismus dienen. Auch andere Naturprodukte helfen mit diese Mikrozirkulation noch weiter zu optimieren. Dies alles beinhaltet dieses Buch, welches mithelfen soll aufzuklären, damit jeder bewusst und wissend zur bestmöglichen Vorsorge und Heilung im Krebsgeschehen kommen kann.

Auszug aus dem Bestseller "Krebs wo ist dein Sieg?" Autor: Michael Peuser
Siehe auch den Bestseller: "Kapillaren bestimmen unser Schicksal"

Diese beiden Bestseller beschreiben die Mikrozirkulation in den Kapillaren. Die Kapillaren wurden vom Autor als der "Hauptentscheidungsträger unserer Gesundheit" bezeichnet. Ein Erwachsener verfügt über 150.000 km Kapillaren zur Versorgung der 75 Billionen Zellen. Die Kapillaren sind deratig fein, so dass 400 von ihnen parallel geführt in ein menschliches Haar passen würden. Alle Kapillaren zusammen ergeben ein Volumen von 3 Litern. Somit werden die Kapillaren als eines der großen Organe des Menschen bezeichnet und ist durch den Metabolismus der darin abläuft auch eines der wichtigen Organe. Auch die Forschungen von Prof. Dr. med R. Klopp im Forschungszentrum der Mikrozirkulation in Berlin bestätigen dies.

Freitag, 24. Dezember 2010

Ein Gleichnis für verengte Kapillaren

Um die verheerende Wirkung von verengten Kapillaren auf die Sauerstoffversorgung der 75 Billionen Zellen unseres Organismus einmal plastisch darzustellen, möchte ich Ihnen folgendes Gleichnis nahebringen.

Unser Planet Erde beherbergt derzeitig 7,5 Milliarden Menschen. Nehmen wir einmal an, dass jeweils drei Menschen eine Familie oder Gemeinschaft bilden und in einer Wohnung oder Einfamilienhaus gemeinsam leben, so hätten wir 2,5 Milliarden Wohneinheiten. Wenn alle diese Wohneinheiten nach dem letzten Stand der Technik eingerichtet und an Strom, Gas, Wasser und Telefon angeschlossen sind, könnten wir für dieses Gleichnis, jede einzelne von ihnen z. B. als eine Zelle bezeichnen.

Wir wissen bereits aus vorherigen Kapiteln dieses Buches, dass jede einzelne Zelle unseres Organismus ein wahrer Kosmos ist. In jeder einzelnen Zelle laufen mehr Chemieprozesse ab, als in allen Chemiefabriken dieser Erde. Ebenso sind in jeder Zelle derartig viele Informationen gespeichert, dass, wenn man diese in Computer speichern wollte, unzählige dafür nötig wären. Und wenn wir uns das ganze Weltall mit seinen 1000 Milliarden Galaxien ohne Leben vorstellen, dann ist alles, was sich dort im Weltall abspielt ein Nichts im Vergleich, was sich in jeder einzelner Zelle abspielt.

Wenn wir uns nun für unser Gleichnis eine einzelne winzige Zelle bildhaft als Wohneinheit für drei Menschen vorstellen, mit Anschluss an die örtliche Wasserversorgung, um frisches und sauberes Wasser in der Küche, im Bad, in der Toilette und in der Wasch- und Geschirrspülmaschine zu haben. Dieses Wasser wird zum Verbraucher geleitet über ein sehr gut gegliedertes Rohrnetz vom Wasserwerk, zuerst über sehr dicke, dann immer dünnere und zuletzt durch Rohre mit einem geringen Durchmesser.

Nehmen wir einmal an, dass alle Wohneinheiten der Erde von einem einzigen Wasserwerk versorgt werden müssten, dann würden 2,5 Milliarden Wohneinheiten bzw. für unser Gleichnis 2,5 Milliarden Zellen angeschlossen sein.

Wissen Sie wie viele Wohneinheiten pro Tag Probleme mit der Wasserversorgung haben? Weltweit sind Hunderttausende Klempner im Einsatz um Rohrbrüche zu beseitigen, tropfende Hähne zu reparieren, verkalkte Rohre auszutauschen, Toilettenspülung zu regeln, Wasch- und Spülmaschinen anzuschließen oder zu warten. Also, mehrere hunderttausend Wohneinheiten (sagen wir beispielhaft 250.000) werden täglich von Wasserversorgungsproblemen betroffen. Das wären also 0,001 %.

Nun hat der Mensch aber 75 Billionen Zellen, das wären, wenn man diese als Wohneinheiten betrachtet und 2,5 Milliarden pro Erde annimmt, Wohneinheiten für 30.000 Planeten Erde. Wenn 0,001% davon von einer Wasserversorgung abgesperrt wären, dann würden auf den 30.000 Erden 750 Millionen Wohneinheiten ohne Wasser sein. Für die 30.000 Erden kein Problem, für die einzelne Wohneinheit eine kleine Katastrophe. Es gäbe kein Wasser zum Trinken, zum Händewaschen, zur Toilettenspülung, zum Wäschewaschen, Geschirrspülen, Tee- oder Kaffeekochen und zum feuchten Aufwischen. Wenn dieser Zustand lange anhält und kein Wasser von anderen Quellen besorgt werden kann, dann verschlechtert sich der hygienische Zustand in der Wohnung, denn die Toilette kann nicht gespült werden, es stinkt zum Himmel, Krankheiten und sogar Seuchen können ausbrechen.

Solange jedoch nur 0,001 % der Wohneinheiten davon betroffen sind, besteht aber keine Gefahr für die 30.000 Erden, denn es werden die hunderttausend Klempner pro Erde anrücken und diese Probleme wieder zu sanieren.

Wenn aber der verantwortliche Oberchef für alle Wasserwerke der 30.000 Planeten Erde z. B. im krankhaftem Wahn anordnen würde, dass ab so fort in den Wasserwerken ins Trinkwasser fettige Öle, teerige Stoffe und Kalk in großen Mengen zugegeben werden muss und alle Wasserwerke diesen Anordnungen blindlings folgen, würden sich zuerst die letzten feinen Wasserleitungen verengen, die Wasserhähne und Toilettendrücker würden nicht mehr richtig funktionieren und wir hätten eine totale Katastrophe. Ein Stadtviertel nach dem anderen würde davon betroffen werden, eine Stadt nach der anderen, ein Land nach dem anderen, ein Kontinent nach dem anderen und zuletzt ein Planet nach dem anderen. Seuchen würden sich ausbreiten. Da hilft dann auch kein Klempner mehr. Erstens gibt es nicht so viele davon und zweitens ohne die Ursachenbeseitigung in den Wasserwerken, wären also alle Reparaturarbeiten sinnlos.

Auf den Krebs übertragen bedeutet sinngemäß das Gleichnis folgendes: Ständig sind z. B. 0,001 % der Zellen von der Sauerstoffversorgung abgeschnitten und können somit in die Zellgärung übergehen, also zu Krebszellen entarten. Wenn aber die Versorgung mit Sauerstoff durch die Ursachenbeseitigung wieder in Gang kommt, kann der Krebs stehen bleiben und verschwinden. So geht es ständig im Leben und stellt keine Gefahr dar.

Wenn aber permanent durch eine verkehrte Ernährung, Rauchen und Alkoholexzesse die Kapillaren sich verengen, also wenn sinnbildlich das Wasserwerk fettige Öle, teerige Stoffe und Gips in das Leitungswasser gibt, dann werden alle Rohrleitungen davon betroffen und die Wasserversorgung bricht nach und nach überall zusammen. Ganze Städte, Länder, Kontinente und Planeten bleiben ohne Versorgung und die Katastrophe lässt sich nicht mehr ohne weiteres beseitigen. Man muss zuerst einmal die Wasserqualität im Wasserwerk wieder herstellen, die Rohre reinigen und durchspülen, bis die letzte Wohneinheit wieder voll mit Wasser versorgt werden kann.

Übertragen auf das Krankheitsbild Krebs: Der Zustand der Mikrozirkulation in den Kapillaren ist das “A“ und “O“ für die Entstehung und auch für die Heilung von Krebs. Deshalb sollte immer sofort, sobald ein Tumor entdeckt wird, die erste Maßnahme sein, für die Wiederherstellung einer einwandfreien Mikrozirkulation in den Kapillaren zu sorgen. Diese setzt sich zusammen aus dem richtigen Kapillarendurchmesser, in einer guten Fließfähigkeit der roten Blutkörperchen, in einer elastischen Form derselben und in der Festigung der feinen Kapillarenwände, so wie in diesem Buche beschrieben. Dann kann mit der medizinischen Therapie begonnen werden, die dann auch viel erfolgreicher sein kann.

Auszug aus dem Buch: Krebs wo ist dein Sieg? von Michael Peuser

Relatórios do Frei Romano Zago OFM, sobre curas com Aloe

Até agora tive a alegria de me encontrar pessoalmente, duas vezes, com o querido e muito simpático padre franciscano Romano Zago OFM, de Porto Alegre, a capital do Rio Grande do Sul, por ocasião de palestras que ele proferiu em São Paulo. A primeira vez foi há quatro anos, na Associação de Apicultores de São Paulo, cuja maioria de sócios é de origem japonesa, e tem um amor especial à natureza e seus produtos.

Essa é a maior colônia japonesa fora do Japão e muitos agricultores que dela fazem parte plantam grande variedade de frutas e hortaliças em torno da metrópole de 17 milhões de habitantes que é a Grande São Paulo, formando um cinturão verde que garante, como provavelmente em nenhuma outra grande cidade do mundo, um abastecimento contínuo de frutas e verduras frescas. Qualquer turista fica admirado ao ver os belos bufês, sobretudo de saladas e verduras, nos restaurantes e churrascarias.

O estado de São Paulo conta com 600.000 habitantes de origem japonesa (no país desde 1908), contra 300.000 originários dos países de língua alemã (chegados a partir de 1824, a convite da Imperatriz Leopoldina, filha do último imperador alemão do Primeiro Reich, Franz II). Durante o reinado do Imperador Dom Pedro II, a população de língua alemã chegou, na cidade de São Paulo, a 25%. A propósito, São Paulo também é a maior cidade industrial alemã do mundo. Somando-se o total de empregados nas indústrias alemãs nela instaladas, chega-se a um número superior a qualquer cidade da Alemanha.

O Consulado Geral da Alemanha, em São Paulo, é o segundo maior do mundo, atrás apenas de Nova York. Na cidade, são publicados dois jornais em língua alemã: o “Brasil-Post“, de D. Ursula Dormien, e há mais de cem anos o “Deutsche Zeitung“, hoje de propriedade do Dr. Egon von Weidebach. Esses dois periódicos também informam regularmente seus leitores sobre as novidades do Padre Romano Zago OFM.

Palestras em São Paulo

Por ocasião da palestra na associação dos apicultores, pude constatar o grande interesse pelas explanações do padre e, conversando com diversos senhores, tomei conhecimento de que sua fórmula já é adotada, com sucesso, há várias décadas pela colônia japonesa.

Foram-me relatados, igualmente muitos casos de cura. O grande salão estava lotado e muitas pessoas se comprimiam na entrada, chegando até à rua. Todos prestavam muita atenção às palavras do padre Romano, ninguém queria perder uma palavra. Seguiu-se uma discussão interessante, em que me provaram mais uma vez que os japoneses têm grande sede de saber, formulando perguntas e mais perguntas, até que o tema estivesse inteiramente esgotado. Nessa noite, entreguei-lhes uma grande quantidade de documentos que eu havia colecionado, versando sobre o tema, e um extenso relatório meu, publicado no “Brasil-Post“, sobre a Aloe e os êxitos obtidos pelo padre.

Em seu livro, então recém-publicado, “Câncer tem cura“, o padre Romano me fez uma bela dedicatória pessoal. Nesse meio de tempo, seu livro tornou-se um “bestseller“, tendo alcançando a 37a. edição, foi traduzido do Português e publicado na Itália e na Espanha.

Quase todas as estações de TV do Brasil convidaram o sacerdote para rodadas de discussões, o que o tornou conhecido em todo o país. Um pequeno número de médicos, que não acredita nos produtos da farmácia divina, ficou nervoso e começou a procurar caminhos para prejudicar a imagem do padre Romano. Eles analisaram os filmes de suas apresentações na televisão e as fitas de suas inúmeras entrevistas na rádio e encontraram uma frase formulada de forma infeliz que, se apresentada isoladamente, pode dar a impressão de que o padre Romano se referia de maneira negativa à medicina tradicional. Isso, no entanto, nunca foi sua intenção.

O “lobby“ desse pequeno grupo médico passou a transmitir, repetidamente, essa frase em um programa de televisão levado ao ar aos domingos à noite, por uma emissora com o maior índice de audiência no Brasil.

O objetivo era ridicularizá-lo e compará-lo aos charlatães. Inicialmente, o objetivo foi atingido em parte, e isso junto a pessoas que não o conheciam. As discussões reservadas que depois se seguiram em meios familiares ou entre amigos, conhecidos e parceiros de negócios deram, porém, razão ao padre, em função das inúmeras experiências positivas feitas com a Aloe em todo o país, de maneira que esse “lobby“ que se opõe ao uso de produtos naturais em paralelo à medicina tradicional, deixou de lado novos ataques e agora não mais se manifesta.

Em novembro de 1999, o autor "bestseller“, Frei Romano Zago OFM, foi convidado para uma conferência no elegante Club Transatlântico, em São Paulo – um local de encontro da colônia de língua alemã e brasileira, que já pôde contar com as visitas dos chanceleres da Alemanha, Kohl e Schroeder, em palestras e intercâmbio de idéias. Para essa conferência, o religioso foi trazido, especialmente, de Porto Alegre.

Nos salões do Club Transatlântico, há, regularmente, palestras e exposições dirigidas à colônia de língua alemã, em que se tem a oportunidade de ouvir personalidades nacionais e internacionais das mais variadas áreas do conhecimento. Nomes consagrados da medicina já proferiram palestras nesse clube, como o Prof. Dr. Zerbini, que fez o primeiro e também o maior número de transplantes cardíacos no Brasil (em 1968, o meu setor homenageou-o com a entrega de seu instrumental cirúrgico banhado a ouro e fui convidado por ele a assistir a uma cirurgia do coração) e o Prof. Dr. Jatene, ex-Ministro da Saúde do Brasil. Ali, eu mesmo já proferi 6 palestras, versando sobre diferentes assuntos.

O Frei Romano Zago OFM fez o relato das novas descobertas no setor da Aloe e trouxe a notícia, em primeira mão, de que, nos Estados Unidos e no Rio Grande do Sul, haviam sido reportadas as primeiras curas de AIDS com o emprego da mesma. Em suas palestras anteriores, bem como em seu livro, ele sempre enfatizara que a Aloe não cura a AIDS, tendo, isto sim, efeito semelhante ao AZT.

A última novidade por ele trazida, foi a informação de que, nesse meio tempo, o Laboratório Adrian Blake, da Grã-Bretanha, havia concluído uma longa série de testes visando comprovar se a mistura Aloe com mel é mais eficaz do que a Aloe pura. Haviam sido feitos testes comparativos entre dois grupos, um dos quais recebendo apenas Aloe e o outro, a Aloe com mel. Assim finalmente um laboratório científico reconheceu que, a tradição centenária brasileira e russa, de usar concomitantemente Aloe com mel traz mais beneficio, que o uso puro da Aloe.

Nos casos de câncer da próstata e do útero, a administração da citada mistura revelou-se duas vezes superior ao emprego da Aloe sem mel. Isso comprova a validade irrefutável da velha fórmula brasileira, que vem se impondo nos últimos anos em todo o mundo.

Outra bateria de testes foi feita na Itália, no Laboratório TAU, em Torino, visando melhorar ainda mais a fórmula Aloe com casca/mel/álcool. Resultados superiores foram alcançados mediante a adição de cloreto de magnésio, na proporção de 24 g para pacientes com mais de setenta anos e 12 g no caso de menos de setenta anos. A adição foi feita à mistura de 300 g de Aloe, 500 g de mel e 3-4 colheres de sopa com aguardente de cana de açúcar.

Ao final, foi mostrado aos presentes um filme rodado numa grande plantação de Aloe na América Central, com cenas do processamento industrial das folhas e aproveitamento de sua parte interna para obter uma valiosa e saudável bebida vendida em todo o mundo. Em outras cenas, viam-se tanques de aço inox sobre semi-reboques tracionados por vistosos caminhões transportando o suco de Aloe e instalações com linhas automatizadas de engarrafamento.

Tratava-se de um filme da firma Forever Living Products, hoje uma das maiores do mundo na produção do suco de Aloe e outros produtos obtidos dessa planta. Essa firma tem um quadro mundial de 1,5 milhões de vendedores e faz parte do rol das maiores empresas dos EUA. O faturamento em dólares desta firma com produtos de Aloe ultrapassa duas vezes as exportações de café do Brasil. É uma grande oportunidade para o Brasil plantar Aloe, principalmente no Noroeste onde o clima e a terra são ideais para o cultivo dessa planta.

No dia seguinte, pela manhã, tive a honra de levar o Frei Romano Zago OFM do hotel ao aeroporto. Contei-lhe nessa ocasião que estava preparando um livro, em alemão, a respeito de seu tema (“Câncer, onde está tua vitória?“) e que há três anos vinha fazendo uma avaliação da documentação mundial versando sobre o assunto. Ele me permitiu incluir no livro trechos de sua coletânea de relatórios sobre curas e, em contrapartida, prometi enviar-lhe o primeiro exemplar, como livro de honra, com uma dedicatória, pois a ele se deve a primeira divulgação internacional da fórmula brasileira de tanto êxito.

A primeira publicação internacional deu-se em 1994, na edição de novembro/dezembro da revista “La Terre Sainte“, que aparece nos idiomas italiano e espanhol, com um anexo em Português. Nela, o padre Paulino Dantas relatou que pela fórmula brasileira do padre Romano Zago OFM fora curado de um câncer na garganta e que pretendia, grato, ajudar, a partir de então, a tornar a fórmula conhecida internacionalmente.

Curas vivenciadas pelo Frei Romano Zago OFM

Do rico tesouro de confirmações de curas, verbais e por escrito, que o padre Romano colecionou a partir de 1988, tirei aleatoriamente dez, para, igualmente, levá-las ao conhecimento de leitores em todo o mundo.

Caso n.º 1: O padre Romano Zago OFM começou seus serviços na Terra Santa em 7 de maio de 1991. O número de turistas havia diminuído devido à “Guerra do Golfo“. Após um mês de aclimatação, seu abade decidiu transferi-lo ao Santo Sepulcro, o local da Ressurreição do Salvador, lembrado pelos cristãos. Como os três sacerdotes ali residentes não conseguiam sozinhos prestar a devida assistência aos peregrinos, trabalhava lá também um jovem árabe, de nome Nagib. O padre observou que, logo após seu expediente, todos os dias o jovem se dirigia ao Hospital Árabe de Jerusalém. Ele perguntou a seus irmãos sobre o que poderia estar acontecendo e eles esclareceram que esse jovem tinha somente umas poucas semanas mais de vida, por sofrer de câncer na circulação linfática.

Imediatamente, o padre Romano preparou a benéfica mistura brasileira, que tantas vezes tinha usado no Rio Grande do Sul, e deu-a ao jovem Nagib. Como recomendado, ele passou a tomar essa bebida saudável, preparada com Aloe/mel/álcool. Nem ele e muito menos os médicos conseguem entender a razão da cura tão rápida. O jovem árabe Nagib continua vivo até hoje, pois o câncer das glândulas linfática desapareceu.

Caso n.º 2: Certa vez o padre Romano recebeu uma carta do padre Alviero Niccaci OFM, diretor do “Pontificale Athenaeum Antonianum“ de Roma, vindo de sua filial “Studium Biblicum Franciscanum“, em Jerusalém. Lá estudava o padre Francisco Xavier, da Índia. Ele tinha um tumor no cérebro, que já havia sido operado no Hospital Hadassa, mas seguido por infecções misteriosas, que provocaram enormes abscessos na cabeça e na garganta. O pus escorria deles com cheiro tão forte, que ele não podia mais participar das refeições com os demais, tendo que tomá-las separadamente.

O padre Romano preparou-lhe a mistura brasileira de Aloe e em pouco tempo o padre da Índia estava completamente curado, concluiu seus estudos com êxito e retornou, a sua terra natal..

Caso n.º 3: Em 31.08.1991, o padre Romano Zago OFM foi transferido do Santo Sepulcro para Belém, o local do nascimento de Jesus, para lá ensinar Filosofia e Latim. Ele encontrou o diretor da escola bastante perturbado, porque seu secretário, muito doente, estava à beira da morte, sem perspectivas de cura pelos médicos. Sem saber ao certo qual seria a grave doença, ele preparou a mistura brasileira e com ela curou o secretário Michel Soutor, em curto tempo.

Caso n.º 4: No grande convento S. Salvador, em Jerusalém, trabalhava por muitos anos um iugoslavo de nome Eliseu, casado com uma árabe. Ele era responsável, como eletricista, pela manutenção geral. Devido a um câncer de próstata, ele não estava mais em condições de trabalhar e foi dispensado. Ele foi submetido a diversas operações e foi necessário, até mesmo, a retirada dos testículos (“para a alegria de um gato“, como Eliseu dizia jocosamente). Ele ficou condenado à cadeira de rodas e passou a ser um caso de assistência constante para sua esposa e amigos. O administrador do convento, padre Luis Garcia, lembrou-se então da fórmula brasileira à base de Aloe e solicitou a vinda do padre Romano, trazendo consigo a mistura. Eliseu ficou inteiramente curado e voltou a trabalhar na manutenção com as Irmãs de São Vicente na Jaffa Street, em Jerusalém.

Caso n.º 5: Por intermédio da redação da revista “La Terre Sainte“, o padre Romano Zago OFM recebeu uma carta, em francês, sobre uma menina de nome Nicole. Nicole é uma das vítimas da radioatividade da usina de Chernobyl. Depois de apenas um mês de tratamento com a fórmula brasileira, ela pôde retornar a Kiev, na Ucrânia, completamente curada. Nicole tinha 12 anos.

Quando estava na França, recebera uma carta de Moscou, com o pedido de que testasse a mistura do padre Romano Zago OFM. Ninguém conseguiu saber como a informação teria chegado a Moscou; ninguém sabe, ao certo, se outras vítimas da radioatividade foram tratadas da mesma forma. Por que não se fez o mesmo tratamento com todos os que haviam sido afetados em Chernobyl?

Caso n.º 6: A Irmã Hiltrude, da Igreja de Santa Ana, em Jerusalém, visitou o padre Romano Zago OFM para contar que o padre holandês van Gelder fora obrigado a interromper seu trabalho missionário na África, devido a um câncer de fígado, podendo contar, segundo seus médicos, com somente mais três meses de vida. Ele voltou à sua pátria, a Holanda, para lá encerrar sua vida sobre a terra. Na Holanda, ele recebeu a mistura Aloe/mel/álcool, com a qual foi inteiramente curado, podendo então retornar à África, para continuar seu abençoado trabalho.

Caso n.º 7: Dna. Mirna, uma senhora judia da Sokolov Street, de Jerusalém, ouvira falar da fórmula do padre Romano Zago OFM e convidou-o à sua casa, para que ele lhe ensinasse o “segredo“. Ela prestava toda a atenção e, inclusive, pôs-lhe um avental, para que seu hábito de monge não ficasse sujo. Sob sua supervisão, o padre preparou duas garrafas cheias, uma para ela e outra para seu marido. Ela queria testá-la em seu próprio organismo. Ficou tão entusiasmada, que divulgou a fórmula em seu círculo de amigos e conhecidos em Israel e na Itália, onde muitos obtiveram a cura. A propósito, ela é uma grande admiradora dos franciscanos, sobretudo porque o padre Ricardo Niccaci a havia escondido, com toda sua família, nas abóbadas do convento de Assis, na época das perseguições aos judeus. Ela agora ajuda a tornar a fórmula de sucesso conhecida entre os judeus.

Caso n.º 8: Natali, de 13 anos, da região de Ancone, na Itália, sofria de um câncer cerebral desde seus cinco anos. Já havia sido operada três vezes na mais célebre clínica de Paris, que é uma das melhores do mundo, mas o câncer voltara a se manifestar de forma ainda mais intensa. Cortisona e morfina já não surtiam efeito no alívio das dores dessa criança e uma quarta intervenção fôra descartada pelos médicos. Ela recebeu o produto Aloe/mel/álcool do padre Romano Zago OFM e as dores desapareceram. Ela voltou a falar, brincar e andar de bicicleta. As análises revelaram, contudo, que o câncer persistia. Recebeu um segundo vidro do produto e obteve a cura total. A análise posterior não trazia mais sinais de câncer.

Caso n° 9: Marcos, de seis anos, portador de leucemia, chegou com seus pais a Belém. Os médicos haviam dado como possível uma sobrevida de dois meses, mas a Aloe, que ele recebeu do padre Romano Zago OFM, ajudou-o. Antes o menino estava preso à cadeira de rodas. Após o uso da Aloe, ele começou a andar sozinho, arrastando só a perna direita. Depois do consumo de um segundo vidro de Aloe, preparado em Belém, o pai telefonou, da África do Sul, dizendo que o prazo que havia sido dado pelos médicos já havia passado e que o menino continuava vivo. Tendo recuperado, inclusive, a mobilidade normal da perna direita.

Ele venceu a leucemia. Os pais convidaram o padre Romano a visitá-los na África do Sul e Moçambique, para lá divulgar a fórmula e fizeram questão, profundamente, gratos, de presenteá-lo com um belo relógio Seiko. O padre Romano retorquiu que a cura de seu filho não fora feita por ele, mas, sim, pela Aloe.

Caso n.º 10: Um dos casos mais conhecidos, divulgado em detalhes na revista “La Terre Sainte“, é a história do garoto Juan, da Argentina, que sofria de leucemia. O transplante da medula, feito na Espanha, não havia transcorrido bem e, antes de morrer, ele queria conhecer a Terra Santa. Ele travou conhecimento com o padre Romano Zago OFM e com a bebida brasileira à base da Aloe. Ele sarou completamente e leva uma vida inteiramente, normal em El Palomar/Buenos Aires, na Argentina.

Um caso quase igual ocorreu em Nazaré/Israel. Daniel Silberstain não encontrava doador para o transplante de medula. Nenhum de seus familiares fora considerado compatível e seu pai, um médico renomado e bem relacionado, tinha chegado até a publicar anúncios nos periódicos americanos.

Fortalecido pelo caso de Juan, da Argentina, o Frei Romano Zago “provocou“ a mãe de Daniel Silberstain ao desejar-lhe que não encontrasse o procurado doador. A partir disso, seu filho Daniel começou a tomar o preparado Aloe/mel/álcool e sarou completamente. Não perdeu mais nenhuma aula, foi aprovado em todos os exames e é, agora, o melhor da classe. O Frei Romano Zago recomendou-lhe que volte a tomar Aloe, em intervalos maiores, como garantia.

Na literatura científica encontramos igualmente relatos sobre o tratamento de câncer em pacientes terminais, onde o emprego da Aloe apresentou resultados excelentes: vide Lissoni P., Giani L., Zernini S., Trabattoni P., Rovelli F. (1998) Biotherapy with the pineal immunomodulating hormone Melatonin versus Melatonin plus Aloe vera in untretatable advanced solid neoplasms. – Nat. Immun. 16 (1): 27 – 33.

Do Livro:

Os Capilares Determinam Nosso Destino

A Aloe abranda os efeitos colaterais típicos da radio e da quimioterapia confirmando, assim, a Doutrina dos Capilares

Em 1999, foram registrados 261.900 novos casos de câncer no Brasil. Isto representa um aumento de 23 % em apenas 20 anos. 104.200 pacientes vieram a falecer deste mal. O câncer está em 3° lugar no índice de mortalidade, com 11,38 %. Na Alemanha, o câncer ataca, anualmente, cerca de 300.000 pessoas, das quais 40 % vêm a falecer em conseqüência de algum tumor, portanto, a chance de sobrevivência é de 60% dos casos em ambos os países. Para o tratamento de enfermidades cancerosas, na medicina tradicional, existem basicamente quatro processos terapêuticos.

Fazem parte dos procedimentos localizados a dissecação tumoral cirúrgica (operação) e a radioterapia. Em ambos os casos, o tumor e os nódulos linfáticos adjacentes constituem a principal área de ataque da terapia. Na quimioterapia citostática e na terapia hormonal, a multiplicação de células tumorais em todos os órgãos do corpo é freada mediante aplicação de medicamentos, mas o organismo todo é inundado por essas substâncias, sem distinção entre células tumorais ou tecidos normais.

Aplicação de radioterapia

A moderna radioterapia ou radiooncologia é a viga mestra da terapia do câncer. Segundo o Prof.Dr. Michael Molls (da Clínica à margem direita do Rio Isar, em Munique/Alemanha), a longo prazo, aproximadamente, 45 % de todas os tipos de câncer, poderão ser curados. 70 % das pessoas que se curaram (as que de cinco a dez anos depois da terapia não tiveram recaída de tumores), foram submetidas à radioterapia, como forma única de tratamento ou combinada à quimioterapia. Essa última forma de tratamento tem, isoladamente, um papel bem menor que o da radioterapia no combate aos tumores.

A radioterapia é comparável a uma intervenção cirúrgica. O raio do radioterapeuta encontra seu correspondente no “aço“ do cirurgião. Assim como a cirurgia, a radioterapia representa uma medida terapêutica local, onde seu efeito ou possível efeito colateral se limita à região do corpo tratada, diferenciando-se, assim, de uma terapia sistêmica, como a medicamentosa. Independentemente do princípio terapêutico normal (radioterapia, cirurgia, quimioterapia), o tratamento do tumor pode ser curativo (voltado à cura) ou paliativo (voltado ao alívio das dores), quando a cura já não é mais possível.

A respeito da radiooncologia, o Prof. Dr. Rolf-P. Müller escreve, para o Grupo de Trabalho de Oncologia Radiológica (ARO), o seguinte: “Aproximadamente 55 % dos pacientes procuram a terapia com um tumor ainda limitado a uma área; cerca de dois terços deles podem ser curados com terapias locais (cirurgia e/ou radioterapia). Os 45 % restantes chegam com a doença em estado já avançado, com formação de metástases. Destes pacientes, 70 % recebem o tratamento da radioterapia. Essa serve, basicamente, para combater as dores e outros sintomas; somente em poucos casos, uma cura da doença nesse estado avançado é possível pela medicina acadêmica.

A área a ser atingida pela radiação é o DNA (ácido desoxirribonucléico), que se encontra no núcleo de cada célula. Esse é o portador da informação genética que em cada divisão celular é transmitida às células secundárias. Uma radiação provoca grande danos ao DNA que, em grande parte, são reparados por enzimas das próprias células. Alguns deles, porém, são irreversíveis ou não são reparados corretamente. A célula procede, então, a mais 2 ou 3 divisões, antes de perder essa capacidade. Em etapas seguintes, as células danificadas são decompostas e os fragmentos resultantes eliminados pelo sistema imunológico do organismo.

Em princípio, o efeito da radiação sobre o tecido canceroso e sobre o tecido sadio do corpo é o mesmo. Também não é possível constatar diferenças na capacidade reparadora de células normais ou tumorais. Em comparação com os tecidos sadios, a alimentação das células dos tumores com nutrientes e, principalmente, com oxigênio é deficiente (devido aos capilares estreitados e ressecados). Como conseqüência de hipoxemia há por um lado, menor eficácia na reparação de danos no DNA das células tumorais e, por outro, destruição em menor escala de células tumorais, devido à falta de sensibilidade ao oxigênio. Um efeito terapêutico da radiação só pode ser alcançado se a dosagem de radiação no tumor for, sensivelmente, maior que no tecido normal. Na assim chamada radioterapia fracionada, não se aplica de uma só vez a dosagem necessária à erradicação do tumor; mas, sim, em muitas porções menores, as frações. Nesse caso, a prescrição da dosagem é feita em Gy (Gray) (1 Gy corresponde a 100 rad). Usualmente a radiação diária é de 1,8 – 2,0 Gy, em cinco dias por semana. Assim, a dose total necessária para combater um tumor, de 60 a 70 Gy, representa, no geral, um tratamento de 4 a 7 semanas.

Efeitos colaterais da radioterapia

O esquema otimizado da, assim denominada, radioterapia fracionada percutânea decorre do equilibro entre a alta probabilidade de destruição do tumor com os possíveis efeitos colaterais da radiação. Esses podem ocorrer durante a aplicação dos raios e, então, são, geralmente, reversíveis. Meses e até anos após o tratamento, podem surgir conseqüências crônicas da radiação, das quais, via de regra, só podem ser tratados os sintomas. De maneira geral, é válido afirmar que, em qualquer tecido do corpo, podem se fazer sentir efeitos colaterais agudos ou crônicos da radioterapia, prevalecendo uma ou outra reação conforme o tecido.

A ocorrência desses efeitos colaterais é, porém, determinada em grande parte pela quantidade de radiações aplicada e pela extensão do campo irradiado; pois, basicamente, os efeitos colaterais só aparecem nos órgãos e regiões do corpo em que as radiações foram aplicadas diretamente. Uma exceção é constituída por cansaço e enjôo sentidos, às vezes, no início da radioterapia e causados, provavelmente, pela inundação do organismo por produtos residuais das células dos tumores.

Efeitos colaterais agudos da radiação, geralmente, manifestam-se primeiro em forma de hiperemia (irrigação sangüínea aumentada) e de um edema (inchaço) no órgão ou região do corpo atingida. Devido ao fato de que, durante a radiação, também a divisão celular nos tecidos normais fica prejudicada; o suprimento sangüíneo reduzido leva a uma falta de células novas para um bom funcionamento naquele órgão.

A função desse órgão é afetada em maior ou menor intensidade, conforme a sensibilidade individual à radiação e o número de aplicações ministradas. Efeitos colaterais típicos são a epiteliólise (separação) do epitélio da pele, inflamação aguda da mucosa, a perda de função, geralmente temporária, das glândulas salivares e sudoríferas, a disenteria (diarréia) causada pela perda de células no intestino delgado e intestino grosso, perturbações na formação de sangue na medula com déficit de glóbulos brancos (leucopenia), inflamações agudas na bexiga urinária (cistite), bem como inchaço no cérebro (edema cerebral).

Os efeitos colaterais tardios e crônicos fazem-se sentir nos órgãos irradiados com uma freqüência de 5 a 11 %. Aí ocorre, de forma relativamente uniforme, uma multiplicação dos tecidos conjuntivos (fibrose), perda duradoura de funções de células orgânicas (atrofia), ressecamento de vasos capilares supridores de oxigênio e substâncias nutrientes, com alargamento das arteríolas e vênulas anteriores (telangiectasia), bem como perdas correlatas de funcionamento do órgão. Há também alguns poucos casos de efeitos colaterais crônicos típicos, como a fibrose pulmonar causada pelas radiações, oclusão intestinal (ileo) induzida por radioemanação, além da formação de calosidades no tecido gorduroso da derme, no tecido conjuntivo e musculatura.

O Prof. Dr. Michael Molls, especialista em terapia por neutrons no reator do centro de pesquisas de Gorching/Alemanha, relata que toda terapia por radiações traz consigo o risco de efeitos colaterais. Isso acontece também no caso de tratamento com nêutrons. Os efeitos colaterais estão relacionados também com a constituição biológica do paciente. No caso da terapia por nêutrons usada em carcinomas recidivos de mama, a maioria dos efeitos colaterais consiste em irritações cutâneas nas partes submetidas à radiação (dermatite (II) e epiteliólise úmida), que podem resultar em inflamações semelhantes às queimaduras solares.

Esses efeitos desenvolvem-se de maneira, relativamente, aguda durante o tratamento por radiações e, ao término do tratamento, costumam desaparecer paulatinamente. Além disso, foi observada, uma hiperpigmentação e, em alguns casos raros, necrose do tumor e fibrose (II).

A principal dificuldade do radioterapeuta reside em evitar futuros efeitos colaterais irreversíveis, ao mesmo tempo em que deve procurar alcançar o efeito máximo de destruição do tumor. A magnitude dos possíveis efeitos colaterais é determinada, principalmente, pela dosagem total e pela dose diária aplicada. Como regra geral, considera-se que, quanto maior a dosagem total e a dose diária, mais intenso é o possível efeito colateral.

A Aloe nunca deveria faltar na radioterapia

O sumo natural da Aloe presta inestimáveis serviços na atenuação e eliminação dos desagradáveis efeitos colaterais do tratamento por radiações. Em seu rico tesouro de experiências, o padre Romano Zago OFM pôde catalogar muitos relatórios de pacientes que tinham se beneficiados do poder da Aloe, paralelamente, tomada durante a radioterapia. Mais de 70 % dos pacientes foram unânimes em confirmar ter ocorrido uma forte redução de efeitos colaterais. Freqüentemente relatam não ter sentido nenhum deles.

Ainda, recentemente, recebi o telefonema de um senhor de São Paulo, cujo irmão dois anos antes se submetera à radioterapia, nos EUA, e que vinha sofrendo, terrivelmente com os efeitos colaterais. Em função do meu relatório na “Brasil Post“, em 1997, ele foi aos EUA, levando consigo folhas de Aloe, com as quais, lá, preparou a mistura brasileira de Aloe/mel/álcool. Depois de uma semana, seu irmão voltou a sentir-se bem, graças ao alívio proporcionado pela Aloe, pois que esta havia contribuindo para a volta dos capilares a seus diâmetros naturais e sadios, antes contraídos pela radioterapia. Em vista desse resultado, seu irmão pediu que lhe fossem enviadas mais folhas de Aloe.

Em 7 de março de 2002 a Sra. Brigitte Verhoeven comunicou-me, da Alemanha, o seguinte: “Fiquei conhecendo a Aloe vera L. por ocasião da minha terapia de câncer, fiz uso dela e superei tanto a quimio quanto a radioterapia sem qualquer efeito colateral. Nem cheguei a perder meus cabelos. Outros pacientes, que receberam a mesma medicação, perderam todos seus cabelos. Ao longo de todo o tratamento, senti-me muito bem. Estou cheia de energia e jamais me sinto doente. Tomei, diariamente, 100 ml de gel puro (sumo de Aloe) em diversas doses e, depois da quimioterapia, também 200 ml de uma só vez. Hoje eu estou super bem e animada, nunca mais fiquei doente – não fui atingida nem mesmo por um resfriado. Dois parentes meus tiveram a mesma experiência.“

O Sr. Siegfried Lechfeld e família escreveram, em 5 de agosto de 2002, sobre o mesmo assunto: “Por meio da doença de nossa filha (32 anos, doença de Hodkin) travamos conhecimento com a Aloe vera L.. Com a ingestão do suco de Aloe e complemento de vitaminas durante a quimio e a radioterapia, foi possível reduzir os efeitos colaterais desses tratamentos. A aplicação externa da loção ‘Aloe Vera Gelly’ (Gel de Aloe vera L. 100 % natural) contribuiu para o bom resultado e a pele só ficou, localmente, marrom. Com isto, a família toda ficou entusiasmada com a Aloe.“

Quem ler o presente livro com atenção, sempre encontrará indicações para a extraordinária forma de atuação da Aloe. Justamente as propriedades descritas nos capítulos anteriores são apropriadas para atenuar e mesmo eliminar efeitos colaterais típicos da radioterapia.

Comecemos pela proteção da pele. Horas antes e logo depois de cada radiação, ela deveria receber um tratamento generoso de gel de Aloe. Por seu intermédio, pode-se evitar ou reduzir, sensivelmente a irritação da pele submetida à radiação, como a epiteliólise úmida (separação) do epitélio, bem como diminuir a destruição de glândulas sudoríparas. Essas observações já haviam sido feitas pelos médicos Collins (pai e filho) nos anos 30 em queimaduras de raios X e, nos anos 50, as autoridades responsáveis pelos estudos nucleares dos EUA também coletaram dados sobre valiosas experiências com queimaduras de pele causadas pela radioatividade.

Sabemos, igualmente, que a Aloe provoca o alargamento dos capilares que haviam sido estreitados pela radioatividade, seu diâmetro volta à sua forma natural e sadia. Isso melhora o transporte de resíduos celulares do tumor, o que também possibilita superar cansaço e evitar enjôos. Ainda que o tratamento por radiações provoque o alargamento das arteríolas e vênulas anteriores, os importantes vasos capilares, ao contrário, sofrem uma constrição e até mesmo uma oclusão total, afetando, assim, os processos de nutrição das células e a remoção dos resíduos do metabolismo, ou mesmo paralisando-os por inteiro.

A aplicação de radiações em tumores de cabeça e garganta conduz a um ressecamento, entre outros, dos capilares que alimentam o sistema dentário com água, vitaminas e substâncias minerais. Falhas nesse abastecimento podem levar os dentes à morte ou esmigalhá-los como areia. Nesse caso poderia ajudar bastante um tratamento suplementar da região bucal com suco de Aloe, irrigando com ele a gengiva diariamente por mais de 2 horas, o que abre novamente os capilares para o reabastecimento dos dentes. Dessa maneira, talvez também seja possível ativar a salivação.

A reação dos capilares à radioterapia, que se manifesta na forma de redução de seu corte transversal, é a causa dos indesejáveis efeitos colaterais da, seguramente, valiosa radioterapia. Com base em todas essas observações, a radioterapia deveria, para o bem do paciente, vir sempre acompanhada de bastante Aloe (ministrada interna e externamente). Se, graças a ela, os 150.000 km de capilares do organismo humano apresentarem o diâmetro sadio e normal, os temidos efeitos colaterais da radioterapia serão insignificantes em aproximadamente 70 % dos casos.

Os efeitos colaterais da quimioterapia

Quem tem câncer e deve ser submetido “apenas“ à quimioterapia teve sorte. Mas, se observarmos melhor essa “sorte“, perceberemos logo que as conseqüências da assim denominada terapia citostática são bastante desagradáveis. Para muitos pacientes e também para seus médicos, a aplicação de uma quimioterapia está automaticamente ligada a uma permanência hospitalar.

Seguramente, na maioria dos casos, tal terapia por si só não justificaria um tratamento hospitalar. Poucas formas de aplicação terapêutica são tão complexas que só possam ter êxito sob condições hospitalares. Também são poucas as que apresentam tantos efeitos colaterais que justifiquem a terapia e permanência no hospital para observações posteriores. A internação só é, necessária em quadros clínicos especiais.

Para o êxito de uma terapia , os efeitos colaterais que mais perturbam o paciente ou colocam-no em risco, devem ser tratados com cuidado. Um dos pontos centrais, pelo qual se avalia como um procedimento quimioterápico é aceito e suportado, é, a ânsia de vômito ligada à terapia. Justamente numa situação em que os pacientes necessitam de força e vontade de viver, eles se sentem fracos e debilitados, reclamam de cansaço e do fato de seu estado psicológico ter chegado ao ponto mais baixo, quando o que precisam é, exatamente, do contrário. Por isso é importante que se procure afastar, desde o início, a possibilidade de ocorrência desses desagradáveis efeitos colaterais. Para isso a Imperatriz das Plantas Medicinais, a Aloe, se apresenta como solução segura e natural.

Qualquer paciente, potencialmente, sujeito à quimioterapia teme, além da perda dos cabelos, a possível náusea e ânsia de vômito. Com referência a isso, deve-se tomar conhecimento dos conceitos e definições, pois nem toda forma de náusea pode ser considerada igual a outra, e cada uma, exige do médico um procedimento diferenciado. Importante é fixar o momento da manifestação do mal-estar, pois as náuseas podem ser agudas, tardias ou antecipadas (antecipatórias).

a) Náusea aguda/vômito (acute nausea/emesis ANE): aparece por volta de uma
hora após o início da infusão citostática, ou seja, o mal-estar aparece no
transcurso das primeiras 24 horas.
b) Náusea tardia/vômito (delay nausea/emesis DNE): aparece só a partir do
2º dia após o início da quimioterapia. É típico dela e não persiste além do
5° dia.
c) Náusea de vômito antecipado: ao pensar na terapia ou ao adentrar a sala
de terapia começam náuseas e vômito, muitas vezes reforçados por odores.

Nem sempre é possível manter essa divisão formal, pois as manifestações
podem fluir de um estado a outro. A náusea e vômito antecipado pode, abrir
caminho para a aguda, caminhando para ela sem etapas intermediárias.

Alguns medicamentos empregados no tratamento de tumores também se caracterizam por provocar náuseas tanto num prazo curto, logo após serem ministrados, quanto por prazo mais longo, não sendo, assim, possível separar a náusea aguda da tardia.

O vômito é um reflexo nato, que protege o organismo da ingestão de alimentos estragados ou tóxicos. Dessa maneira, o vômito pode ser provocado, localmente, por substâncias em atuação no trato gastrointestinal; mas, ao lado dessa forma periférica, existe também uma que é central e que muitos conhecem por aglomerações. Fortes estímulos no sentido orientativo, conjugados com informações contrastantes captadas pelos olhos, provocam igualmente náusea e vômito não menos forte. Por meio de intensa pesquisa foi possível esclarecer o mecanismo essencial da sua origem. A serotonina, uma substância liberada por determinadas células do trato gastrointestinal (enterocromafínicas), ocupa receptores correspondentes no vago (um importante complexo de nervos do sistema neuro-vegetativo), que levam a uma central no cérebro e dá, assim, o sinal de partida para o vômito.

Determinadas regiões do cérebro também podem ser estimuladas diretamente por preparados quimioterapêuticos e provocar o vômito (tendo igualmente a serotina como portadora). Esse mecanismo da serotina, no entanto, é uma explicação válida apenas para a ânsia aguda.

Medicamentos da quimioterapia

Como efeitos colaterais, encontramos não somente a ânsia de vômito, mas toda uma série adicional de mal-estares ligados aos medicamentos empregados na quimioterapia, como listados a seguir:
Cisplatina (Platinex): Diminuição do número de glóbulos brancos, vômito intenso e náuseas, prejuízo da capacidade auditiva e das funções renais.
Cyclofosfamida (Endoxan): Diminuição de leucócitos, náusea e vômito intenso, formigamento na boca durante a injeção e, com menor freqüência, inflamações nas mucosas da boca. Perda de cabelos e, possível, inflamação da mucosa da bexiga.
Doxorubizina (Adriblastin): Provoca redução de leucócitos, perda de cabelo, náusea (em menor intensidade em relação a outros medicamentos), inflamações e abcessos na mucosa bucal, coloração avermelhada da urina, não perigosa. A sua aplicação freqüente pode ocasionar dano ao músculo cardíaco e, por isso, o controle por meio de eletrocardiograma é indispensável..
MTX Methotrexate: Um efeito colateral de MTX faz sentir-se nas mucosas, principalmente, com inflamações na boca, bem como no esôfago e intestino. Faz-se necessário cuidadoso tratamento bucal. Não causa vômito ou só, raramente. Diminuição do número de leucócitos.
VCR - Vincristina: Só, raramente, náuseas. Queda de cabelos. Prejuízo nos nervos periféricos, isto é, todos menos os cerebrais e da medula, geralmente nos nervos das pernas. Isso pode manifestar-se como fraqueza ou sensação de surdez. Esses sintomas costumam regredir alguns meses depois do tratamento. Podem ocorrer dores de barriga, dos ossos e muitas vezes obstipações.

Além disso, muitos pacientes sofrem com desagradáveis fungos, que muitas vezes aparecem como efeito colateral da quimioterapia.

A Aloe alivia os efeitos colaterais da quimioterapia

A Aloe se presta, naturalmente, ao alívio dos muitos efeitos colaterais desagradáveis da quimioterapia. Mediante o uso da mistura Aloe/mel/álcool, foram alcançados sucessos impressionantes. Os pacientes que, concomitantemente à quimioterapia, fizeram uso dessa mistura, relatam, em sua maioria, que eles mal se sentiram prejudicados em seu bem-estar.

Em muitos casos, mesmo a costumeira perda de cabelos pôde ser evitada, porque cerca de 70 % dos pacientes reagem muito bem à Aloe. Basta que a pele que recobre a cabeça seja fartamente enxaguada com gel de Aloe antes e durante a quimioterapia. Como a Aloe penetra rapidamente através da epiderme, chega à raiz dos cabelos e dilata o diâmetro dos capilares, fazendo com que a queda de cabelos seja evitada ou muito reduzida.

O gel da Aloe deve ser esfregado no couro cabeludo e deixado secar. Na manhã seguinte, os cabelos devem ser lavados com água fria e o couro cabeludo tratado novamente com gel fresco de Aloe. Os pacientes que, em paralelo à quimioterapia, tomaram a Aloe somente por via oral (3 x ao dia uma colher de sopa antes das refeições), portanto sem aplicação externa, mencionam, em muitos casos, a costumeira queda de cabelos; mas, de qualquer maneira relatam muito entusiasmados, a diminuição sensível dos demais efeitos colaterais, sobretudo das ânsias de vômito. Já não se sentem mais tão debilitados e cansados, sentindo maior vontade de viver.

É importante saber: Nosso organismo reage às consagradas radio e quimioterapia com uma redução do diâmetro dos capilares, que chegam a ficar
ressecados. O estreitamento ou ressecamento dos capilares é a causa de muitos efeitos colaterais dessas terapias. Como a Aloe tem essa abençoada propriedade de restabelecer-lhes o diâmetro, os efeitos colaterais são evitados ou muito reduzidos. O que confirma, mais uma vez, minha doutrina dos capilares.

Em janeiro de 2002, recebi o telefonema de um leitor do meu livro em alemão „Aloe, a Imperatriz das Plantas Medicinais“. Esse paciente de câncer, Erich Gärtner, submetera-se à radio e à quimioterapia e havia conseguido, em Berlim, a Aloe arborescens Miller. Ele preparou o suco seguindo a fórmula do padre Romano Zago OFM, como descrita em meu livro, e relatou-me, todo entusiasmado, que já não sente mais quaisquer efeitos colaterais, sente-se mais jovem e dinâmico e que agora pratica, diariamente, seu “jogging“, como se estivesse 100 % sadio.

Nos Estados Unidos, está muito difundido o uso da bebida vital da Aloe. Muitos médicos já a prescrevem ou recomendem para uso simultâneo às radio e quimioterapias devido aos seu excelentes resultados. Tal fato, leva-nos a crer que, em breve, este procedimento será, universalmente, padronizado.

Na Alemanha, Áustria e Suíça, a moderna bebida vital da Aloe, infelizmente, é quase desconhecida nos círculos médicos. A respeito disso, o Engº. Klaus Germersdorf escreveu-me, em 13 de junho de 2002, o seguinte: “Prezado Sr. Peuser. Antes de mais nada quero agradecer-lhe por ter levado seus conhecimentos sobre o poder de cura da Aloe às pessoas interessadas, por intermédio de seu livro ‘Aloe, a Imperatriz das Plantas Medicinais’. A leitura do mesmo deixou-me impressionado pela riqueza de detalhes e por suas observações. Mas eu – com 66 anos de idade - e muito interessado pela medicina (terminando um curso de terapias alternativas) até agora só tive conhecimento da Aloe em forma de cristais, como laxante e abortiva. Mesmo na obra ‘Weiss – compêndio da fitoterapia’ apenas esses dois efeitos são mencionados. Lamentável !“.

Como se vê, o que se sabe sobre essa miraculosa planta, na Europa Central, ainda repousa sobre escritos históricos inteiramente superados, remontando a um tempo em que os cristais da Aloe eram a principal matéria-prima de muitos medicamentos. O fato da Aloe cristalizada, produzida por aquecimento e fervura do suco extraído de suas folhas, por isso desnaturada e, portanto, “morta“, ter sido substituída pela Aloe em forma natural, infelizmente não conseguiu, até agora, seu lugar nem nos livros nem nas universidades da medicina.

No entanto, o médico que tomar conhecimento da Doutrina dos Capilares e das propriedades da Aloe, não a dispensará como coadjuvante das terapias médicas tradicionais.

Do Livro:

Os Capilares Determinam Nosso Destino